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soup.io
soup.io: Ein österreichisches IT-Startup in London Das dreiköpfige Team, das für die Entwicklung des sogenannten "Tumblelog" soup.io verantwortlich ist, hat international Wellen geschlagen und potenzielle Finanzpartner aufmerksam gemacht. Ein Blog auf soup.io soll seinem Inhaber nicht bloß eine Plattform für Text zur Verfügung stellen, sondern einen "Remix des Web" erlauben. Jetzt ist das junge Startup von Wien nach London gezogen um mit frischem Kapital ihr Projekt wachsen zu lassen. Robert Glashüttner stellt die Plattform vor und fragt ihre Macher, was sie sich in den nächsten Monaten und Jahren damit erhoffen. (http://fm4.orf.at/station/224553/main)
Le Lab
(Le Monde Diplomatique, Septembre 2008, p. 4)
L'endroit ressemble à une friche industrielle, mais c'est un centre d'art contemporain. Ici, pas d'ateliers truffés de pots de peinture, ni de toiles sur les murs, mais des composants électroniques, des manuels d'informatique et des ordinateurs plus ou moins désossés. L'idée n'est pas tant d'exposer ses créations que de partager ses connaissances et d'œuvrer à plusieurs pour promouvoir l'"usage créatif de la technologie". Situé le long d'une voie ferréee à Vitry-sur-Seine, en banlieue parisienne, le Lab s'inspire du Metalab de Vienne et de la C-Base de Berlin, deux hackers' spaces réunissant informaticiens, chercheurs et artistes.
En juin dernier, le Lab organisait son premier Hacker Space Festival (HSF). A défaut de mot d'ordre, quelques questions: "A qui ressemblerait Internet sans hackers? Que serait l'informatique sans le logiciel libre? Que serait une culture sans partage, enclose par les canaux médiatiques et restreinte par les techniques de DRM?" - digital rights management, ou "gestion des droits numériques", du nom que l'on donne à ces logiciels qualifiés de "privateurs" parce qu'ils visent à interdire certains usages, à commencer par le partage des fichiers ou leur archivage pour sauvegarde.
Parmi les attractions du festival: le Consumer B Gone, une sonnerie de téléphone portable qui désactive le dispositif der chariots de supermarché censé en bloquer les roues au sortir du parking; le "bricophone", un projet de téléphone portable "libre" à très bas coût; un "orgue à patates" utilisant l'énergie des pommes de terre pour produire de la musique; des aterliers de circuit bending où l'on apprend à transformer des jeux électroniques pour enfants en instruments de musique concrète...
A l'instar de la dizaine de hacklabs que l'on dénombre de par le monde, le Lab voudrait décomplexer le hacking: il ne s'agit pas de "pirater" quoi que ce soit, mais de remettre les utilisateurs au centre du processus, de sorte qu'ils maîtrisent leurs outils au lieu d'en dépendre, qu'ils apprennent comment ils fontionnent, et comment les améliorer ou les détourner pour mieux les contrôler. (Jean-Marc Marnach)
CASES
Article in Luxemburger Wort on 10/10/2008 on page 21
Misc
- ARTE Report on LED Throwies, 2006-05-04